Astrologie Aztèque

Le Lapin s'inscrit dans la symphonie de la vie avec son chiffre, le 8, évoquant l'harmonie et la plénitude. Sa couleur bénéfique, le bleu indigo, reflète à la fois la profondeur de son être et la sérénité qu'il recherche.

Il se laisse porter par une indulgence douce envers lui-même, appréciant les plaisirs de la vie avec une jovialité contagieuse, bien que parfois teintée de nervosité. Délicat et mystérieux, il préfère esquiver les conflits d'un simple bond, choisissant la tranquillité du jour pour s'épanouir dans ses escapades nocturnes.

Avec son charme enjôleur et son sourire irrésistible, le Lapin est le compagnon idéal, apportant une légèreté bienvenue dans la vie de ceux qui croisent son chemin. Pourtant, dans la mythologie aztèque, le Lapin a été injustement accusé de voler la nourriture, un malentendu qui le conduisit à être remplacé par un vautour. Malgré cette épreuve, il a su se multiplier dans les champs de maïs, réapparaissant régulièrement avec sa silhouette joyeuse et espiègle, rappelant la résilience et la malice cachée derrière son apparence douce.

L'Aigle se dresse avec majesté sur le firmament des symboles, portant avec lui le chiffre puissant du 9, évoquant la perfection et l'accomplissement. Sa couleur bénéfique, l'argent, l'enveloppe d'une aura de noblesse et de clarté.

Il incarne la fusion parfaite entre la vertu et la force, héritier de l'autorité et de la bravoure pour l'homme, et gardien de l'organisation et de la préservation de la vie pour la femme. Son ambition dévorante est éclairée par un esprit subtil et une clarté sans pareille.

Dans cette constellation symbolique, l'harmonie se trouve dans l'union avec d'autres êtres. La présence d'une femme lapin ou singe aux côtés de l'homme, et celle d'un silex ou d'un ocelot auprès de la femme, apporte un équilibre judicieux.

Trônant au sommet du panthéon aztèque, l'Aigle triomphateur des ténèbres s'élève dans les cieux, capturant l'or éblouissant de l'astre solaire pour le sceller dans l'arc céleste, symbolisant ainsi la victoire de la lumière sur l'obscurité et la transcendance de l'âme humaine vers des hauteurs inimaginables.

Le Singe se dévoile avec une aura vibrante. Son chiffre, le 11, résonne avec la promesse de l'innovation et de la créativité. Paré du jaune d'or, une couleur éclatante, il brille dans le firmament des esprits vifs.

Il jongle avec la vie avec une aisance déconcertante, préférant taquiner la réalité plutôt que de s'y soumettre sérieusement. Son esprit malicieux se nourrit de ses inventions, qu'il transforme habilement en tours de magie. Toujours prêt à se laisser emporter par le flot des événements, il apprécie autant l'agitation des vagues que la quiétude du repos.

D'une élégance naturelle et d'une sensibilité esthétique, le Singe se distingue par son désintéressement et son amour pour l'inattendu. Les surprises sont sa nourriture spirituelle, et sa liberté, son plus précieux trésor. Pour les Aztèques, le Singe incarne le "Maître du feu", une figure qui partage son savoir par amour et par le désir de voir l'humanité s'épanouir.

Le Silex se présente avec une aura de puissance et de droiture. Son chiffre,7, évoque la perfection et la plénitude, tandis que sa couleur bénéfique, le rouge vif, symbolise la force et la passion.

Il se distingue par sa rigueur morale et son courage inébranlable. Le Silex méprise la médisance, les mensonges et les doutes, préférant se tenir fermement sur le chemin de l'intégrité. Cependant, son engagement absolu peut parfois le conduire à des excès de grandeur.

Dans la cosmologie aztèque, le couteau de Silex transcende les pierres précieuses par sa pureté. Il est vénéré comme l'outil sacré du sacrifice, celui qui nourrit le soleil de l'offrande du sang des ennemis vaincus. Ainsi, le Silex incarne la dualité entre la pureté et la force brutale, faisant de lui un symbole à la fois redoutable et sacré dans la culture aztèque.

La Pluie danse au rythme du chiffre 3, symbolisant la créativité et l'expression. Sa couleur bénéfique, le rouge sombre, évoque la passion et la force intérieure.

Impulsif par nature, ce signe est constamment en quête de coups de cœur et de fortune, laissant son cœur guider ses pas. Doté d'une sensibilité profonde, il est souvent attiré par l'appel de l'inconnu. Pour trouver son équilibre, il a besoin à la fois d'indulgence envers lui-même et de force intérieure.

Dans les récits des peuples autochtones, Tlaloc règne en maître des orages et du ciel dans Tlalocan. Revêtu des rayons supérieurs des autres planètes, il domine le ciel, tandis qu'en bas, les noyés et les foudroyés lèvent la tête vers la clarté, attendant dans l'au-delà. C'est dans cette dualité entre l'émerveillement de la pluie et la puissance redoutable des tempêtes que réside la nature complexe et captivante du signe de la Pluie.

Le Caïman règne avec puissance sur le chiffre 1, symbole de commencement et de singularité. Sa couleur bénéfique, le vert clair, évoque la vitalité et la croissance.

Il incarne la quête incessante de connaissance et d'ordre, travaillant sans relâche pour établir et maintenir un équilibre juste dans le monde qui l'entoure. La logique et la clarté sont ses compagnons constants, guidant chacune de ses actions.

Le Caïman est l'ami par excellence, toujours prêt à offrir son soutien et sa sagesse. Dans les récits mythologiques, notre terre est née d'un caïman, symbolisant ainsi son rôle fondamental dans la création et le maintien de l'ordre cosmique.

Son aspect bénéfique, agraire et protecteur, avec le maïs aux pattes et le nez orné d'un coquillage d'où jaillissent des plantes, associé à la lune qui se profile sur son front, est un symbole de protection totale. Il veille sur les nuits et les jours, sur l'air et l'eau, sur le soleil et la lune, assurant ainsi la perpétuité et l'harmonie de l'univers.

La Maison est associée au chiffre 6, symbolisant l'harmonie et l'équilibre. Sa couleur bénéfique, le vert foncé, évoque la stabilité et la croissance.

Ce signe est doté d'une lucidité exceptionnelle et d'une grande sensibilité envers son environnement et les autres. Prêt à donner sans compter, il se trouve souvent confronté à des déceptions, ce qui le rend vulnérable et parfois mélancolique. Sa peur de l'abandon le pousse à rechercher désespérément un foyer avec son âme sœur, où il espère trouver refuge et sécurité.

Dans la mythologie aztèque, la Maison trône au milieu d'un champ fertile, éternellement prospère. À l'ouest, l'astre solaire se retire dans cette demeure accueillante, marquant ainsi le passage du jour à la nuit. Pendant ce temps, les dieux du maïs quittent la déesse des passions et des fleurs pour se diriger vers le soleil couchant, symbolisant le renouveau constant de la vie et de l'espoir.

La Fleur déploie son essence délicate sous l'égide du chiffre 10, symbolisant la plénitude et l'achèvement. Sa couleur bénéfique, le blanc brillant, évoque la pureté et la lumière.

Sensible et changeante comme la lune, la Fleur exhale un parfum envoûtant et témoigne d'une tendresse infinie. Tout ce qui la ravit devient un enchantement pour son entourage, tandis qu'elle est le catalyseur de l'épanouissement passionné des sentiments. Cependant, le risque guette de se faner trop tôt, car sa nature délicate est sujette aux caprices du temps.

Pour éviter ce sort funeste, la compagnie d'un Aigle ou d'un Singe se révèle providentielle, apportant ainsi équilibre et sagesse à cette fleur éphémère. Dans la vision aztèque, la fleur incarne un épanouissement langoureux et passif, un mélange de douceur sucrée et de saveur salée, vibrant de manière éphémère et vibratoire dans l'univers.

Le Serpent se glisse dans l'univers avec le chiffre 2, symbolisant la dualité et l'équilibre. Sa couleur bénéfique, l'orangé, évoque à la fois la chaleur du feu et la sagesse de la terre.

Imprévisible par nature, il peut se révéler rusé jusqu'à la violence, sans pitié dans ses actions. Pour préserver sa prospérité et sa longévité, il n'hésite pas à se camoufler dans les ombres, utilisant cette stratégie comme une forme d'auto-protection. Chez l'homme, cette facette sombre peut être une mesure de défense, tandis que chez la femme, c'est plutôt une tendance à l'appropriation de la proie convoitée qui domine.

Dans la cosmologie aztèque, le Serpent revêt un rôle particulier en tant que rédempteur à plumes, portant l'étendard de la réconciliation entre le ciel et la terre, entre l'histoire et l'humanité. Cette image symbolique illustre la capacité du Serpent à transcender ses instincts les plus sombres pour devenir un agent de réconciliation et d'harmonie dans le monde.

Le Vent souffle avec la puissance du chiffre 5, évoquant le mouvement et le changement constant. Sa couleur bénéfique, le brun, symbolise la terre et la stabilité.

En tant qu'inventeur naturel et ingénieux, le Vent est aussi souple physiquement que mentalement, ce qui lui permet de naviguer habilement à travers les obstacles de la vie, même s'il peut parfois se perdre dans l'ambiguïté. Après une période initiale d'instabilité, le Vent parvient à trouver son équilibre, concentrant ses efforts et développant même une pédagogie de qualité.

Dans la mythologie aztèque, le Vent revêt un masque de canard, symbolisant sa capacité à être aussi à l'aise dans les airs que sur l'eau. Les demeures construites en son honneur étaient empreintes de vénération et conçues pour favoriser l'épanouissement de ses mélodies musicales, témoignant ainsi de l'importance accordée à ce souffle vital dans la culture aztèque.

L’Ocelot rayonne avec la puissance du chiffre 12, symbolisant la plénitude et l'accomplissement. Sa couleur bénéfique, le noir, évoque à la fois le mystère et la force intérieure.

Incarnant l'essence de l'astre solaire, il se distingue par sa ténacité et allie la noblesse du geste à une force de caractère indomptable. Cependant, ses ardeurs et ses pulsions profondes peuvent parfois le pousser vers l'agressivité. Pour trouver l'équilibre, une alliance avec une fleur sensuelle ou un singe rusé apportera la sérénité nécessaire.

Dans la mythologie aztèque, l’Ocelot est une créature féline empreinte de passion et de mort nocturne. Sa compagne humaine, transpercée de flèches, a laissé derrière elle un désir de vengeance brûlant dans le cœur de l’Ocelot. Cette légende rappelle la dualité entre la passion dévorante et la quête de justice qui résonne dans l'âme de cette majestueuse créature.

La Mort, enveloppée de mystère, est gouvernée par le chiffre 4, symbolisant la stabilité et la fondation. Sa couleur bénéfique, le violet, évoque à la fois la royauté et la spiritualité.

La parole donnée, l'honnêteté et le sens moral guident le chemin de ce signe, qui s'active avec diligence et travaille assidûment. Pourtant, malgré son engagement, il peut souvent être tourmenté par le doute quant au regard des autres sur lui-même, ce qui peut le rendre introverti ou préoccupé. Une "Maison" lui apporte un réconfort bienvenu, un refuge dans lequel il peut se sentir en sécurité.

Dans la cosmologie aztèque, la mort revêt un caractère sacré et symbolise l'offrande au soleil. Elle n'est pas vue comme une fin en soi, mais plutôt comme un passage nécessaire pour le renouveau. Les adolescents, porteurs d'avenir, sont initiés au rite du simulacre de la mort, soulignant ainsi le cycle continu de la vie, de la mort et de la renaissance.